Majestueuse sur rue, la résidence se fait plus intime à l'intérieur et réserve un havre de bien-être autour d'une cour privative.

Les 16 appartements, du studio fonctionnel au 3 pièces de caractère, offrent un cadre de vie associant héritage du passé et confort contemporain. Ils réservent des agencements de grand standing avec des séjours baignés de lumière du jour, des plafonds moulurés pour certains et des volumes bien pensés. Les prestations haut de gamme ont fait l'objet d'un choix minutieux et assurent un bien-être répondant aux plus grandes exigences. Avec sa situation privilégiée au carrefour de l'Europe, l'Île de France et la première région économique française.

Le 1801 s'inscrit dans un quartier éminemment Parisien à la fois vivant, résidentiel et pratique du XVe arrondissement, à la limite du XIVe. Un hommage à Henri LABROUSTE, un architecte précurseur pour un bâti d'architecture classique qui retrouve ses lettres de Noblesse. Loger le « 1801 » c'est avoir à votre porte tout ce qui facilite le quotidien : un marché, les nombreux commerces de proximité, les bars et restaurants des rues avoisinantes. C'est également pouvoir se déplacer facilement grâce à un maillage complet de transports en commun.

Loi Malraux : 

Bénéficiez avec cette résidence de luxe, classée par les Architectes des Bâtiments de France, des avantages fiscaux de la loi Malraux, de 22 % à 30 % de réduction d’impôt. Une solution de défiscalisation basée sur du patrimoine immobilier classé des plus élevée et pertinente avec la loi Monument Historique.

Depuis l'année 2012, le législateur offre une réduction d’impôt égale à 22% du montant des travaux effectués dans les ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager) ou dans les aires de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine. Ce taux est ré-évalué à 30% si le bâtiment est placé au sein d'un « secteur sauvegardé » et des quartiers anciens « dégradés ».

Les frais donnant accès à la réduction d’impôt lié à la loi Malraux (travaux, dépenses de réparation, impôts locaux…) sont définis dans une limite annuelle de 100.000€. L'investisseur a donc la possibilité réduire sa fiscalité annuelle dans une fourchette maximum de 22.000 ou 30.000€ selon les critères de localisation du bien.